Le risque directionnel est le risque constitué par l’évolution du prix d’un actif. Par exemple, si ce-dernier est détenu en position longue, le risque est que le prix de marché baisse, entraînant ainsi une moins-value.

Le risque de signature est le risque que la contrepartie à un contrat refuse d’honorer le contrat et revienne sur sa signature, pour des motifs aussi bien juridiques que financiers. La notion se distingue sensiblement de celle du risque de crédit. 

L’actionnariat individuel désigne l’ensemble des actionnaires agissant comme personne physique, pour compte propre. On parle aussi d’actionnariat « en direct ».

Le risque de solvabilité est le risque qu’un opérateur économique ne puisse pas répondre à ses créances court, moyen et long terme en mobilisant l’ensemble de ses actifs. 

En droit français, en principe, une entreprise insolvable doit entrer en procédure de liquidation judiciaire. Un particulier qui devient insolvable subit une procédure de rétablissement personnel ou professionnel. 

Le risque de crédit est le risque de pertes résultant de l’incapacité pour un opérateur économique de répondre à ses obligations contractuelles de nature pécuniaire. 

Communément, la notion renvoie à l’incapacité pour un emprunteur de rembourser le principal et les intérêts de ses emprunts, synonyme pour le créancier d’une interruption des cash-flows de son investissement et l’augmentation des coûts de recouvrement.

Le risque opérationnel est le risque de perte résultant de défaillances liées aux procédures, aux facteurs humains ou aux systèmes déployés par les opérateurs économiques. La cause de la perte peut être inhérente à un risque opérationnel interne à l’entité concernée ou bien externe à celle-ci. 

Le co-fondateur du groupe Alibaba, Jack Ma, voit dans l’entrepreneuriat africain d’immenses opportunités pour le commerce en ligne, les paiements en ligne ainsi que pour la logistique.

Alors que les gouvernements africains participent à la mise en place opérationnelle du traité de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECA ou AfCFTA en anglais), il incombera aux entrepreneurs d’explorer « les possibles débouchés » et « de se connecter à des marchés très disparates », a-t-il pu indiquer sur le plateau de BloomBerg Television.